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Verrières Ville internet ? À bas débit alors... 

 

Le mensuel de Verrières du mois de novembre est de nouveau paru sans la tribune de l’opposition. Nous ne pouvons que le déplorer vivement et dénoncer ici un système bien peu transparent à l’égard des Verriérois. 

Certes, notre texte a été transmis en temps et heure avec un nombre de signes un peu supérieur à la norme… Mais aucune bonne volonté n’a été déployée pour qu’un rectificatif soit rapidement réalisé : un seul mail de demande, adressé à un seul d’entre nous, aucun contact téléphonique et une réponse à donner en 24H.

La mairie aurait voulu, pour la deuxième fois, nous censurer, elle ne s’y serait pas prise autrement !

Nous vous proposions dans cette tribune un éclairage sur les données du choix de l’intercommunalité pour Verrières et une date de réunion publique (mercredi 5 novembre à 20H30, à la salle 305 de la Maison Vaillant).

Par ailleurs, sachez que notre texte pour publication dans le mensuel doit être transmis un mois avant sa publication (!), alors qu’il s’insère dans une pagination toujours identique. Ce délai n’a guère de sens pour permettre une analyse pertinente de l’actualité locale… Mais, il est aussi incompréhensible au regard des moyens techniques qui permettent des transmissions de données rapides, moyens confirmés d’ailleurs au regard des photos publiées de manifestations datant parfois de quelques jours… La municipalité se targue d’avoir obtenu un label internet, mais décidément, à Verrières, le haut débit n’est pas pour tous !

Aurélia CHAUVEAUD-LAMBLING, Baptiste FOURNIER, Vincent HULIN et Michel YAHIEL

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Commentaires: 1
  • #1

    Georges (jeudi, 06 novembre 2014 17:07)

    Il est dans l'usage de la majorité municipale, depuis plusieurs mandats d'utiliser le magazine d'information municipale à la seule discrétion du directeur de la publication - le maire - comme outil de propagande à ses actions. La censure est également un moyen de propagande. J'ai en mémoire de mauvaises retranscriptions d'articles, qui déformaient la pensée initiale de l'opposition. Pour le directeur de la publication, l'important est que ses photos apparaissent, et pas celles des élu-e-s de l'opposition, ce qui est le cas depuis toujours.
    Au nombre de lecteurs attentifs du magazine, le prix de revient est cher payé par le contribuable. Heureusement que ce magazine est gratuit.
    Tout cela pour dire que je suis d'accord avec la diffusion filmée des débats du conseil municipal. On n’aura pas la version off du magazine, mais des propos en direct.
    Il faudra sans doute attendre le 22 ème siècle.
    Bon courage et continuez de nous informer.